dimanche 29 avril 2012






Boum boum boum. Respires, calmes-toi donc.

Les émotions fusent, je sens des picotements tout autour de moins, comme si mon corps devenait une machine incontrôlable prête à exploser d'un instant à l'autre. Des tas d'images s'imposent à moi, impossible de les chasser, impossible de les nier. Mes pensées ne m'appartiennent plus -mais qui donc les manipulent ?- et m'empoisonnent petit à petit. Stop.

mercredi 25 avril 2012



Wesh gros !

Il y a un an je vous disais que j'étais en plein dans les révisions bac et vous demandais de prier pour mes oraux, à présent priez pour les stats et la psycho du développement s'il vous plaît.
Et oui, me revoilà donc plongée dans mes cahiers à n'en plus sortir de chez moi sauf pour acheter du pain. Suis-je folle ? Rien à faire, je veux réussir. J'ai peur peur peur peur ! Non mais genre vraiment, j'ai pas du tout envie de passer au rattrapage fin juin quoi. Courage à moi-même !
Un an s'est écoulé, bon dieu mais c'est passé si vite, qui donc a appuyé sur "accélérer" ? Veuillez relâcher la pression pitié, à cette allure demain j'aurai 30 ans. J'ai tellement changé en un an, non pas physiquement ni socialement, mais intérieurement, dire que j'appréhendais tant ce départ et ces aux revoir, aujourd'hui me voilà prête à conquérir le monde. Bref, je n'en reviens pas de tous ces changement intérieurs, de cette nouvelle vision de la vie qui s'est imposée à moi. J'ai grandis, réellement. On a grandis.

samedi 7 avril 2012

Ete 2012, comme je t'attends.

Retourner enfin chez moi, dans mon nid douillet entre cigognes, vin et bretzels. Revoir mes amis, en profiter, me remplir les poumons de bouffées de souvenirs afin de repartir pour une année loin d'eux, à demi présente. C'est si dur d'être absente, sans cesse je m'imagine ce qu'aurait été ma vie étudiante si j'étais resté là bas, avec tous. Serais-je la même, serait-ce mieux ? Je n'en sais fichtrement rien, mais ce dont je suis sure c'est qu'ils me manquent. Putain, vous me manquez. J'ai envie de rire avec eux, de partager des moments complices comme autre fois. Pour vu que l'été arrive vite, j'ai besoin de me regonfler à bloc, de me sentir chez moi et pleinement heureuse. Qu'importe si le départ sera d'autant plus dur arrivé en septembre, qu'est-ce cette douleur face à la joie et au bonheur reçus au cours de l'été ? Rentrer, rentrer, rentrer, je n'ai plus que ce mot en tête et c'est une raison de plus pour réussir les exams du premier coup. Vous me manquez tellement, tellement, tellement,...