dimanche 23 octobre 2011

J'ai regardé des photos de l'hiver dernier, celles de mon petit bergers des Pyrénées courant et sautant dans la neige. Bon Dieu comme elle me manque. Ma Béllis c'est mon soleil du matin, mon moment de douceur. Ce petit être est emplit d'une joie si communicative. Je ne tiens plus en place à l'idée de pouvoir bientôt la serrer contre moi et l'innonder de baisers.
Avoir une passion et s'en priver pour pouvoir en vivre un jour, quel étrange paradoxe.

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