Il y a toujours eu des changements dans nos vies, relationnels, organisationnels,... Nous sommes entourés par l'évolution. Mais il y a cette angoisse au fond de moi, cette peur qui grandie peu à peu et cette peine qui ne se tarie pas. J'ai vu ma vie changer du tout au tout, j'ai dû trouver de nouveaux repères, de nouvelles habitudes, pourtant face à ce changement imminent je me sens si désolée. Partir, ce mot me brûle la gorge. J'ai à la fois une envie irrépressible de voler un peu de mes propres ailes, de commencer quelque chose de nouveau, de découvrir autre chose et en même temps plus je pense et plus je me sens triste. Tout quitter, amis, village, animaux, maison,... Bien sûr qu'un jour je reviendrai, mais plus rien ne sera comme avant. Cet été, ces deux derniers mois sont les derniers moments que nous ayons. Je refuse de me l'avouer, je nie tout en bloc mais la vérité c'est que je suis morte de trouille de partir, de m'éloigner et de tout laisser derrière moi. Je réalise peu à peu que tout ça est fini, que ce temps est révolu et ça me peine. Je prends conscience de la réalité des choses, rien ne sera plus jamais comme avant. C'est ça qui fait mal. Ce départ implique beaucoup plus que mon entrée en fac, il entraîne aussi avec lui un millier d'évolutions, de changements et de nouveautés. Bons ou mauvais ? Je ne sais plus, je n'en sais rien. Je voudrais juste oublier, oublier que cet été est notre dernière pépite d'or. Merde, ça fait si mal de devoir s'en aller...jeudi 30 juin 2011
Il y a toujours eu des changements dans nos vies, relationnels, organisationnels,... Nous sommes entourés par l'évolution. Mais il y a cette angoisse au fond de moi, cette peur qui grandie peu à peu et cette peine qui ne se tarie pas. J'ai vu ma vie changer du tout au tout, j'ai dû trouver de nouveaux repères, de nouvelles habitudes, pourtant face à ce changement imminent je me sens si désolée. Partir, ce mot me brûle la gorge. J'ai à la fois une envie irrépressible de voler un peu de mes propres ailes, de commencer quelque chose de nouveau, de découvrir autre chose et en même temps plus je pense et plus je me sens triste. Tout quitter, amis, village, animaux, maison,... Bien sûr qu'un jour je reviendrai, mais plus rien ne sera comme avant. Cet été, ces deux derniers mois sont les derniers moments que nous ayons. Je refuse de me l'avouer, je nie tout en bloc mais la vérité c'est que je suis morte de trouille de partir, de m'éloigner et de tout laisser derrière moi. Je réalise peu à peu que tout ça est fini, que ce temps est révolu et ça me peine. Je prends conscience de la réalité des choses, rien ne sera plus jamais comme avant. C'est ça qui fait mal. Ce départ implique beaucoup plus que mon entrée en fac, il entraîne aussi avec lui un millier d'évolutions, de changements et de nouveautés. Bons ou mauvais ? Je ne sais plus, je n'en sais rien. Je voudrais juste oublier, oublier que cet été est notre dernière pépite d'or. Merde, ça fait si mal de devoir s'en aller...
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Hehe. :) Ou'ep moi à la recherche d'apparts.
RépondreSupprimerJ'ai mon DUT !!!!!!!!!!!!!!!!!!!! :D :D
Mercii ! :) Bravo pour ton bac !!!! :D
RépondreSupprimerNope sur Nancy avec Marie, je continue mes études. :)